Une drôle d'histoire à rebondissements

Helloooo,

Il existe des créativités insoupçonnées sur ce forum.

Toi qui lis ceci, oui TOI ! Sais-tu que tu as de très belles histoires à nous raconter ?

Sais-tu que tu vas nous faire rigoler ? ... car la Miss Stéph n'a pas le monopole de la 'déjante' ... moi, tout va bien hi hi hi

Donc nous allons toutes et tous compléter de façon très libre le début de l'histoire que voici. Libre à vous de créer tous les personnages que vous voulez, les époques, les lieux, les situations ....

Début de nos tribulations cérébrales (non intellectuelles)

L'horizon laisse entrevoir la rotondité de la planète.
La lumière a des couleurs étranges. S'agit-il de nuages, d'étendues liquides ?
Une ambiance étrange plane ce soir.

Des évènements inattendus vont surgir, je le présens.

Soudain, le Père Noël en slip de bain surgit d'une cabine de plage: il porte un maillot rouge à pompons blancs. Il est bientôt suivi par une demi-douzaine de lutins affublés de bouées à têtes de canard...

Dans la brume matinale de ce jour torride, le Père Noël a décidé de prendre quelques jours de vacances. Après tout, il a travaillé tout l'hiver... rien ne l'empêche à présent de chanter tout l'été!

Il attrape sa serviette de plage en moumoute de renne, hume l'air iodé et s'avance sur la plage. Il regarde l'horizon aux couleurs extravagantes et psychédéliques... cette lueur bleue... voyons, mais qu'est-ce?... un schtroumph allumé ou bien?......... mais oui, c'est ça!

C'est bien.........

... C'est bien ça : quelqu'un vient de réveiller Stéph, assoupie, allongée sur cette plage au sable fin brûlant.

Mais quel est cet hurluberlu qui vient de se prendre les pieds dans son drap de plage ???

Le sourire benoît qu'elle affiche a du mal à dissimuler sa surprise schtroumpfesquement envasouillée.

Stéph a du mal à identifer ce qu'elle voit : un drôle de gaillard transportant un énorme tas de tissus rose fuschia devant lui. Une grande quantité de ficelles encombre ses mains.
L'énergumène a une allure pittoresque avec ses lunettes noires : on dirait des yeux de mouche !

Sa tête est recouverte par un casque aux motifs incertains.
Une radio grésille sur son gilet à poches multiples.

Flute ! Encore un vendeur de bibelots qui arpente les plages !

Mais non, il semble trop empoté pour être un de ces vendeurs de sucreries solides ou liquides collantes, plus ou moins fraîches.

"Oups, pardon, Miss !" bredouille l'enchiffonné.
"Excusez moi, mais je viens d'attérir en parapente à quatre mètres d'ici. Mon GPS est en panne. Nous sommes où exactement ? J'ai décollé de la dune du Pyla il y a 6 heures. Vous parlez français au moins ?"

"Vous avez un de ces coups de soleil ! Attention à l'insolation ! Do you speak french ?"

"Bah, de quoi ki m'cause, l'urluberlu et sa cape rose fushia... il s'est pas regardé, non?"

Sur quoi, l'oiseau en question décide d'aller demander son chemin à l'un des lutins en maillot de bain et bouée canard. N'ayant aucune réponse (binh oui, les lutins, ça cause pas le sushi!), il décide de prendre son mal en patience.
"Peut-être que si je me fonds dans le décor, on finira par croire que j'ai toujours été là, et la communication sera plus facile.", pense-t-il.

Aussi enlève-t-il sa combinaison, sa gaine, ses rembourrages faux abdos-tablettes de choco et s'allonge-t-il sur la plage, utilisant sa voile de parapente comme drap de bain.

Au bout de quelques instants, il retente l'expérience et se penche vers la Stéph, fort absorbée par un magazine people ...
"Pardon, heu, c'est votre voisin de plage.... vous auriez l'amabilité extrême de m'indiquer le chemin pour rentrer chez moi?"

Stéph lève les yeux de son magazine, fâchée d'interrompre telle lecture culturelle, le toise l'oeil méfiant.
"Et pourquoi croyez-vous que je sois là, mon brave?, dit-elle, moi, je pagayais sur la rivière quand je suis tombée dans des rapides et me suis retrouvée ici... celà fait des semaines que j'essaie d'approcher ce bonhomme au maillot rouge à pompons, mais rien à faire... quant à ses lutins, je ne comprends pas ce qu'ils baraguinent... bref, bienvenue dans ce monde de fous! Ah, au fait, la soupe est servie dans la cabine de plage n°8 à 19h précises, et la matrone exige la plus grande ponctualité!"

Sur ces mots, elle se retourne, satisfaite de clore la conversation, et retourne à son magazine. Quant à lui, le parapentiste se retrouve bouche-bée face à la mer..."Mais où suis-je donc tombé?!", se demande-t-il avec anxiété.

Décidé à ne pas se mettre lui aussi aux magazines people, il décide de partir explorer la plage et ses environs. Le sable semble s'étaler sur plusieurs kilomètres, il décide donc de quitter la plage en direction de la forêt qu'il aperçoit malgré ses lunettes de mouche. Et c'est là que...

... Et c'est là qu'une irrésistible envie de fraicheur envahit l'aventurier, maintenant encore plus déboussolé qu'à son arrivée, par l'étrange comportement de la naïade rencontrée sur la plage.

Il plie soigneusement son parapente rose fuchsia, le range dans son sac de remisage, le regroupe avec sa sellette, et enterre le tout au pied d'un arbre facilement reconnaissable.

Tout en se dirigeant vers la lisière de la forêt, il s'interroge.

"Mais qui est cette étrange femme, aussi peu accueillante qu'une guichetière de La Poste un lundi matin, en heure de pointe ?

Mais pourquoi n'ai-je rencontré qu'elle ?

Bon, je vais m'aventurer dans cette forêt : je trouverai bien un arbre assez haut pour pouvoir y grimper et jeter un coup d'oeil aux alentours et ainsi me repérer.
Si j'avais compté sur cette donzelle hostile, je n'aurais plus eu qu'à mourir ici, desséché ...."

Tout en pénétrant dans l'orée de cette forêt, il se rend compte qu'elle est dense et faite d'essences de bois inhabituelles.

"Mais où suis-je tombé ? On dirait une forêt équatoriale !

C'est du grand n'importe quoi, cette situation ! La Miss, sur la plage, regardait des magazines pour 'forts coefficients intellectuels', parsemés de commentaires et de photos dont je n'ai que faire. En plus de ça, elle baragouinait des choses très étranges au sujet de lutins, du père Noël ... !!!!"

Soudain, il sentit ses poumons se remplir d'un air étrangement différent de celui d'il y a quelques minutes.

Mais oui, l'air est beaucoup plus pur par ici.

Une sorte de trouée présentait une densité sylvestre moindre. A son centre, ce qu'il voyait était trouble, ondulant.
Il s'avança et se rendit compte qu'il se voyait très approximativement dans ce halo ondulant.
Il essaya de le toucher. Sa main passât au travers sans qu'il ne pût plus distinguer la dite-main.
L'air était très pur.

L'aventurier fait un pas, puis deux et se retrouve dans une deuxième forêt, manifestement différente de la première qu'il vient de quitter.
Des cris inhabituels d'animaux se font entendre. Il n'avait entendu ce genre de cris qu'au cinéma.

"Mais bon sang, on dirait des cris de dinosaures !"
Mais c'est quoi encore, ce bordel !!!!!

Il ne fait pas bon trainer au sol : je vais grimper sur cet arbre, à 10 mètres".

Dès qu'il eût atteint 4 mètres dans sa progression, de branches en branches, il vit des fougères géantes s'agiter tout autour de l'arbre.

"Et ben, j'ai eu chaud ! Mais c'est quoi, ce truc qui bouge devant moi, plus bas ?"

Pendant qu'il observe droit devant, deux bestiaux arrivent par les deux côtés. Ils ressemblent à des sortes d'autruches complètement emplumées, d'un brun grisé, avec une sale tronche de volatiles carnassiers.

A y regarder de plus près, ces animaux n'ont pas d'ailes, mais deux appendices ridicules en guise de membres supérieurs.
Chacune de leurs deux pattes antérieures est dotée d'un grand ergot griffu.

"Des vélociraptors ! L'un d'entre eux a attiré mon attention de face, pendant que les deux autres attaquaient par les deux côtés. J'imagine que le reste du groupe se trouve derrière, pour empêcher toute fuite ! Saletés de dinos futés !!!

Me voila bien !"

L'infortuné continua sa progression vers la cime de l'arbre, à une vingtaine de mètres. Sa progression fut facilité par la densité des branches.

Une vue panoramique s'ouvre à lui.

Un volcan fumant à 3 kilomètres environ, des arbres à perte de vue ....

Raisonnablement, je me retourne et je distingue cette espèce de bulle éthérique, ondulante par laquelle je suis arrivée.

"Ouf ! Elle est encore là ! Je vais attendre quelques heures et y retourner : c'est l'enfer ici ! Je préfère encore les délires de la baigneuse de la plage".

Il brisa deux branches, amassa de la mousse et de l'écorce desséchés, lia le tout au bout des deux branches avec de petites lianes bien vertes.

Il saisit son briquet à mèche amadou qui ne quittait jamais son gilet de vol. Il savait qu'il lui restait à attendre que le nuit tombe pour mettre le feu aux fougères de façon à repousser les vélociraptors et se frayer un chemin vers le fameux vortex temporel par lequel il s'était fourvoyé dans cet enfer vert.

....

Mais c'est sans compter les nuclérators!!! Avec leurs yeux verts luisants dans la nuit, ils y voient comme en plein jour!

Ils commencent à grimper vers notre pauvre aventurier... qui se retrouve bien bête: "j'aurais dû écouter la naïade... elle m'avait prévenu... et dire que j'aurais pu être tranquillement sur la plage à siroter un cocktail en compagnie du père noël, en attendant la soupe!"

De rage, il frappe sur la branche sur laquelle il est assis, et, vous l'aurez deviné... la branche se brise, et il fait une chute vertigineuse de plusieurs mètres à-travers la dense végétation de cette jungle sauvage et indomptable. Fort heureusement, un pan de son slip kangourou taille XXXL se trouve pris par une branche basse et il est arrêté en plein vol, à à peine plus de 2 mètres du sol.

" Ouf! Quelle chute!", se dit-il, avant de s'apercevoir qu'il est cerné par différents carnivores qui se pourlèchent déjà les babines de cette proie facile, pantin désarticulé et offert...

A cet instant surgit de la nuit une ombre masquée, munie d'une sorte de bombe insecticide et vêtue d'une longue cape rouge à gros pois jaunes...

" La naïade!", s'écrit notre aventurier, époustouflé de voir fuire en tous sens ses prédateurs du moment.

La belle, telle Tarzan aux heures de sa gloire, se balance d'arbre en arbre, vaporisant son produit à qui mieux-mieux...

Alors qu'elle atteint le pauvre aventurier en déroute, il finit sa chute, le slip kangourou ayant lâché, et se retrouve dans une position étrange, sens dessus-dessous.
En soupirant, elle s'approche de lui, l'aide à se relever, puis lui demande s'il n'est pas blessé. Il lui demande alors qui elle est, et comment elle l'a retrouvé. Elle lui explique qu'elle l'a entendu appeler à l'aide, et, l'ayant vu se diriger vers la forêt dense, elle se doutait que son excursion tournerait ainsi.
" D'accord, mais qui êtes-vous?"

- Bien, je vais vous le dire: je suis...

... je suis des yeux, un long moment, les ondulations du vortex temporel. Malgré la nuit tombée, la pleine lune embrase de sa lueur blafarde ce fatras végétal.

Mes torches rustiques sont prêtes à être enflammées.
J'estime à 40 mètres la distance qui me sépare de cette bizarrerie ondulante.

Mes 4 torches coincées dans la ceinture, je commence ma descente. Cela fait maintenant trois bonne heures que ces saletés de merles archaïques carnivores, les raptors, ont cessés de manifester leur présence.
J'entends au loin quelques uns de leurs cris courts et lugubres.

J'entame prudemment ma descente ... quand soudain ... j'entends des cris aigüs derrière moi. Brutalement, je tourne la tête ... et que vois-je ??!!??

... une hurluberlue courant comme une dératée, tout en faisant des bons à droite, à gauche, gesticulant des deux bras ... une vieille serviette de plage nouée autour du cou, un grand tissu d'un rouge délavé avec de gros pois qui devaient, à l'origine, être jaunes.

Je reconnais la liseuse de magazines people de cet après-midi. Elle a une allure indéfinissable avec ses cheveux ébouriffés et sa serviette de plage en guise de cape.

Je suis tellement surpris de la voir asperger de crème solaire tous les alentours en braillant, que je lâche prise.
Je rebondis sur la première branche et ... les torches logées dans ma ceinture se bloquent dans une branche. L'arrêt est assez brutal, à 3 mètres du sol.

Je la vois se rapprocher de moi, luisante de sueur et regardant autour d'elle de façon désordonnée.
Elle doit s'être échappée d'un hôpital psy proche d'ici, me dis-je.

Une fois au sol, effaré par cette drôle d'autochtone, j'allume une torche.
Pointant du doigt les autres troches toujours calées dans ma ceinture, elle me demande : ça va, vous ne vous êtes pas fait mal ? C'est pas cassé ?

Mais c'est qu'elle a les idées drôlement placées, en plus ?!?

L'odeur âcre du lait solaire périmé de longue date me rappelle une évidence : tout ce tintamarre et toutes ces odeurs de sueur et de crème solaire ont certainement attiré les raptors.

Je saisis deux autres torches, les enflamme et les jette dans les fougères de chaque côté de l'arbre qui m'avait servi de refuge. Ce petit incendie servira de barrage pour notre fuite.

Je tente d'attraper par le bras l'intruse, mes mains glissent sur sa peau huileuse. Lassé de la suivre du regard, sautillante et gesticulante, je la ceinture et la hisse sur mon épaule. Les 40 mètres qu'il me reste à parcourir sont laborieux : c'est une vraie furie !

"Mais calmez-vous un peu ! Mais qui êtes-vous, à la fin ?!"

Alors que, tout en courant, je me brûle la main avec la torche, nous franchissons de nouveau le vortex temporel.

Elle me répond : "Bien, je vais vous le dire: je suis..." ....

... je suis votre pire cauchemar!!!!"
Et sur ce, elle réussit à s'échapper, grâce à son système anti-agrippant au saindoux...
Elle disparaît bientôt dans les fougères dans un cri de guerre.
Notre aventurier en reste bouche-bée: "cette histoire devient de plus en plus étrange", puis il reprend sa course effrénée, toujours poursuivi par quelques raptors coriaces. Alors qu'il franchit le vortex, les raptors, dans un grognement furieux et frustré, doivent abandonner leur proie car ils ne peuvent franchir la porte.

Il respire quelques instants, puis, reprenant ses esprits, étudie les environs: "qu'est-ce que c'est encore que ça?". En lieux et places de la forêt dense dans laquelle il croyait être retourné, il découvre un genre de temple bouddhiste.
Il décide d'explorer les lieux, ne se décidant décidément pas à retourner en arrière.

Tel un petit poucet, il décide bientôt de laisser sur son passage des trâces afin de retrouver plus facilement son chemin dans ce dédale de couloirs. Il traverse bientôt différentes pièces richement décorées, sans jamais croiser le moindre être vivant.

Un bruit venant de sa droite, derrière une lourde porte en bronze, le fait soudain sursauter. Fébrilement, il décide d'ouvrir la porte et découvre........ une bande de nains de jardin, fort affairés à jardiner un petit enclos d'herbe et de plantes diverses. Il se frotte les yeux, se pince la main et......... pourquoi pas?, décide d'aller leur parler.

L'un des nains le regarde de travers et part, effrayé, en hurlant en sens inverse!

Il le poursuit à travers les petites maisons en forme de champignons et finit par le rattraper.
" Gargamel!!! Comment nous as-tu retrouvés???"

Gargamel??? Serait-ce...un schtroumph??? Et efficacement, en le regardant de plus prêt, ce petit bonhomme est bien bleu, avec un bonnet blanc.

" Conduisez-moi à votre chef", insiste-t-il. Après tout, quitte à parler à un schtroumph, autant s'adresser à un personnage important...

Le schtroumph le conduit donc, à travers le petit village, et jusqu'à une grande bâtisse, à taille humaine, avec des tours de guêt. Le grand schtroumph serait-il si grand???

Il entre, précédé par son guide tremblant, et se retrouve face à un trône orné d'or dans lequel se prélasse... la naïade à serviette rouge à pois jaunes!!!
Elle le toise, l'inspecte des pieds à la tête, puis enjoint ses gardes de l'empoigner et de le jeter au cachot. Le pauvre aventurier a beau se débattre, tenter de parler à celle que désormais il considère comme une douce cinglée, rien n'y fait. Aussitôt, une centaine de schtroumphs se jette sur lui, le ligote et l'entraîne dans la prison du donjon.

Une fois jeté en cellule, notre aventurier......

... rencontre de bien curieux personnages. Il les observe et se dit que, décidément, cette folle n'a pas les yeux en face des trous ... elle ose le mettre, lui, en prison, au milieu de ces énergumènes ... lui qui lui a sauvé la vie inextrémis ...
Il réfléchit quelques minutes, observe ses drôles de compagnons de cellule et en déduit qu'il ne pourra rien en tirer. Ils ne font que tourner en rond, comme dans un bocal, avec l'air aussi fin et hagard que leurs homologues les poissons rouges ... ont-ils seulement conscience d'être déjà passés par là ???
Il inspecte ensuite les moindres recoins de sa cellule. Au bout de longues minutes d'inspection, il finit par repérer une infractuosité entre deux pierres mal scellées. Il récupère une épingle à nourrice qui lui servait à faire tenir son costume (tout à fait ridicule de toutes façons, vu le lieu) et, à présent vêtu de son seul slip kangourou, de ses chaussettes aux genoux et de son sempiternel marcel, il commence à griffer le joint de ces pierres. Cela ne semble même pas étonner ou intéresser ses compagnons de cellule qui poursuivent leur énième tour de cellule à la queue-leu-leu.
Il finit par dégager suffisamment la roche pour pouvoir désceller tout à fait plusieurs pierres. Un bon coup de pied et une partie du mur s'écroule.
Il ricane intérieurement et pense que décidément, son geôlier, sous son joli minois, n'est pas bien finaude !
Il sort ainsi de cellule et n'a aucun mal à trouver la sortie de ce palais. En atteignant la grande porte, il aperçoit une lueur curieuse dans un recoin. Cette lueur, il l'a déjà vue ... il s'approche et se retrouve soudain happé par la lumière qui l'éjecte alors ... sur une nouvelle plage !
Il écarquille les yeux ... mais oui ! ... c'est bien la même plage ... le bonhomme en rouge se fait masser sous un palmier par une bande de gnômes et ... mais oui ... la naïade est toujours là, à se dorer en plein soleil ...
Elle l'aperçoit, abaisse ses lunettes de soleil et, luisante d'huile de soleil, elle lui dit: "ah, vous revoilà ! Je vous avais pourtant dit de ne pas vous éloigner ... et on peut savoir ce que vous fichez en slip sur ma plage ???? !!! Il serait grand temps de .........